Quelques instantanés d’errance vagabonde, témoins prestigieux de la 12e fête du château de Musinens.
- Des premiers pas très officiels … A noter la présence de M & Me Leinz venus de Bretten, ville jumelée – de 1 à 5 –,
- Quelques-unes des « petites mains » laborieuses pour tous les goûts et toutes les envies – de 6 à 16 –.
- Un arrêt spécial ! Oui ! Une exposition remarquable des commerces bellegardiens entre les deux guerres ; le château fait revivre l’histoire à quelque période que ce soit – 17 –.
- Un artisanat coloré, varié, original, du bois, du fer, des fibres d’orties… ou tout autres matériaux – de 18 à 29 –.
- Les « compagnies de Saint-Romain, d’Avalon, les Chevaliers Paladins, l’épée d’Argent » et leur approche très pédagogique de l’histoire, le fonctionnement des armes, l’artisanat des 12e et 13e siècles – de 30 à 34–,
- Halte de qualité au « jardin de Guichard et Matel » – 35 –,
- Les « jeux anciens » toujours aussi séducteurs pour un très large public – 36 à 39 –.
- Les « Gueux » et leur roi de comédie, diaboliquement déchaînés, désormais ancrés dans l’histoire de Musinens, face à un public complice – de 40 à 47 –.
- Suivent deux groupes théâtraux d’excellence, aux gestes, mimiques, mises en scène et textes, dignes de grands professionnels.
- D’abord les « langues persillées », leurs déambulations médiévales spécialement créées pour la fête, « les murmures du château » – de 48 à 52 –.
- Ensuite l’« Echappée belle », ses savoureuses farces médiévales « Jean de la vache », « farce de Mahuet » et « farce de la cornette » – de 53 à 57–.
- L’ « Esbaudye », jongleries, fabliaux, flûtes et tambourins dans la plus pure tradition des animations médiévales – de 58 à 60 –.
- Régal de poésie avec Didier Donon à la harpe, accompagné de son fils Tanguy : musique ancienne, renaissance, bretonne et celtique – de 61 à 63 –-.
- La chorale « La Balladine » dans un répertoire facétieux spécialement mis en voix pour la fête, étoffée parfois d’un groupe de collégiens de Saint-Exupéry ou Louis Dumont, – de 64 à 69 –.
- La « compagnie Alambic », ses mystères, ses jongleries face à un public attentif – de 70 à 72 –,
- Les monstres des Chevaliers Paladins – de 74 à 76 –.
- Les « Pennons de Ménival » du vieux Lyon, bellement costumés, leurs danses renaissance, et « les noces d’Isabelle, fille de Guichard de Musinens », là encore spécialement imaginées pour Musinens – de 77 à 81 –.
- Défilé haut en couleurs avec tous les intervenants – de 82 à 93 –.
- Traditionnel envol des pigeons – de 94 à 95 –.
- Retraite aux flambeaux suivie du spectacle de feu magistral de la compagnie Alambic – de 96 à 98 –.
- Photos spéciales four « la Pogne » pour des bénévoles à la tâche déjà depuis le mercredi 5 – de 101 à 106
8 et 9 septembre 2012 ! Deux journées culturelles grand public dans la meilleure tradition des fêtes d’antan.
« Renaissance du château de Musinens » peut reprendre avec fierté sa devise désormais célèbre « Plus n’est possible – 99 et 100 –